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lundi 26 novembre 2007

Quand Gudulle change d'avis!


Quand ces horreurs ont commencé à envahir toutes les villes du monde, je me suis dit que le revival des sabots hollandais n'était pas loin et que bientôt on verrait surgir des "belles des champs" sur les trottoirs des capitales de la mode.

Puis, l'Homme en a ramené une paire à la maison et là, j'ai résisté à l'idée de les brûler en pleine nuit, vu qu'il les portait même pour se rendre au bureau (si, si, je vous promets que c'est vrai). A la place, j'ai essayé le charme et la séduction et honnêtement, cela n'a fonctionné qu'une fois sur deux :-(

Mais voilà, l'autre jour, je me suis prise pour Tistou les Pouces Verts. Me voilà donc dans le jardin avec mes trois pots de géranium blancs et mon hibiscus rouge, sans oublier ma petite pelle et mon tuyau d'arrosage. Oui, mais, quelles chaussures mettre pour aller creuser mes platebandes???

Et c'est là que mon esprit a tilté - littéralement parce qu'il faut au moins un tilt, pour aller acheter des truc pareils. Je suis donc partie au supermarché du coin - non, je n'irai pas mettre le prix abérrant demandé par la marque originale pour m'acheter des machins en plastique! - et me voilà donc dotée de sabots à trous en plastique.

Oui, mais, ils sont orange... et le orange, au cas où vous ne le sauriez pas, j'adoOore.

Et puis, pour de vrai, c'est vachement confortable parce que super léger. Et ce qui est important c'est que, en orange dans mon jardin tout vert, et bien je ne risque pas de perdre mes pieds... euh... mes chaussures!

PS: Pour ceux et celles qui auraient oublié ce qu'est une Belle des Champs, je l'ai retrouvé en vrai:

mercredi 21 novembre 2007

Ah! Si seulement Gudulle... savait dire Non!

Il y a des jours où j'adorerais pouvoir laisser de côté la bonne éducation inculquée par papa-maman et pouvoir dire franchement les choses, sans me poser 15000 questions sur la manière dont la réponse va être reçue.

Ok, avec les gens que je connais bien, j'y arrive à peu près. Après tout, les amis savent que lorsqu'on dit "Non" à quelque chose, cela ne signifie pas que les liens qui nous unissent sont entâchés à tout jamais.

Mais, là où le bât blesse (tiens, d'où vient cette expression???), c'est quand il s'agit de dire non à quelqu'un qui n'est pas un inconnu parfait (dire non à la nana qui me dérange au téléphone pour me proposer la dernière cuisine Mobalpa ou le nouvel abonnement chez Orange, ça j'y arrive parfaitement), une personne que l'on sera amené à revoir.


Voici quelques mises en situation:

  • Non, tu ne peux pas amener 15 copains au dîner que j'ai organisé pour 4 personnes.
  • Non, tu ne peux pas mettre tes pieds sur ma table basse/enlever tes baskets que tu portes pieds nus dans mon salon à l'heure de l'apéro.
  • Non, tu ne peux pas manger le dernier Quality Street que j'ai mis de côté pour pouvoir le déguster en douce lors d'un instant me-time.
  • Non, je ne peux pas garder tes chats/chiens pendant que tu pars t'éclater en vacances au soleil.
  • Non, je ne veux pas m'occuper de ton/ta meilleur(e) ami(e) qui débarque dans mon bled et qui n'a pas d'endroit où dormir pendant les 15 prochains jours.
Quand cela se produit je m'enlise dans des justifications à n'en plus finir. Pourquoi? Parce que j'ai toujours peur de ce que mon interlocuteur va penser.

Et dire que l'Homme, lui, il y parvient sans aucun problème. Qu'est-ce que je l'envie!

Et vous, vous vous en sortez comment dans des situations pareilles?

lundi 19 novembre 2007

Gudulle est nostalgique



Ni une, ni deux, il faut que je partage avec vous cette info, trouvée maintenant, là, tout de suite, sur le site de Morandini: Culture Pub revient sur le net!

Bon, pour ceux qui auraient oublié ou qui seraient bien trop jeunes pour s'en souvenir, Culture Pub était le rendez-vous dominical d'M6, présenté par Christian Blachas, pour tous les publivores. Et j'en faisais bien évidemment partie.

Alors, le site n'est pas encore ouvert, mais si vous le voulez vous pouvez vous inscrire ici pour recevoir un petit email d'alerte dès que le site ouvrira. J'ai hâte!

vendredi 9 novembre 2007

Gudulle: la star!


Comme toute star qui se respecte, j'étais en retard pour récupérer mon award, décerné à moi, par Pauline.

Absente à la distribution, je n'ai pas eu la possibilité de faire un discours mais je tiens tout de même à remercier:

  1. Pauline: pour me confier ce merveilleux trophée, les yeux fermés, malgré l'absence de nouveaux billets sur ce blog.
  2. Mes parents: bah, ouais, s'ils n'étaient pas là, il aurait fallu m'inventer (et rien que ça c'est du boulot!)
  3. Mes commentatrices, peu nombreuses mais assidues, qui me rappellent parfois à l'ordre lorsque je m'absente trop longtemps.
Bon, puisque ce trophée se passe de blog en blog, je tiens à le décerner à Cécile en l'honneur de son village playmobile, et à Del4yo qui a fleuri mon univers bloguesque.

Venez-donc le chercher!

Le Retour de Gudulle II et plus

Coupable, coupable, coupable! De s'absenter pendant si longtemps alors que ce blog est encore tout jeune. Je pourrai vous faire le coup du "on efface tout et on recommence" mais je ne suis pas lâche, donc j'opte plutôt pour un "on assume et on continue".

Que s'est-il passé durant ces longues journées d'absences? En fait, pas grand chose. C'est sans doute pour ça que je n'ai rien publié. Je me suis pas mal nourrie des publications des autres (mes onglets Netvibes vont finir par éclater!). Mais bon, là, y a un truc dont je veux vous parler, alors, revenons à nos (mon?) mouton.

Je ne suis pas du genre à baver sur un Jude Law, un Brad Pitt ou tout autre apollon des journaux people, mais si il y a une "vedette" qui m'a toujours fait craquer, c'est lui:
Alors oui, je sais, ça fait un peu greluche mais quand le seul homme qui me fait tourner la tête (sauf, mon homme, bien sûr, qui d'ailleurs montre une pointe de jalousie quand mon iPod joue en boucle les chansons des multiples albums du beau ED) sort un nouvel album, je ne peux m'empêcher d'en parler.


Et oui, Etienne Daho vient de sortir "L'invitation" et une fois de plus je craque.Pourtant bien différent de ses précédents opus, cet album est une véritable merveille. Rien à jeter, une écriture beaucoup plus simple (un peu troublante d'aillleurs, quand on a été habitué aux métaphores du bel Eden), et un rythme toujours aussi envoûtant.




Bref, vous l'aurez compris, je suis aux anges.

Merci Etienne.